mercredi 19 octobre 2022

La Beauté





Let beauty be your constant ideal
The beauty of the soul
The beauty of sentiments
The beauty of thoughts
The beauty of action
The beauty in the work
So that nothing comes out of your hands which is not an expression of pure and harmonious beauty.

And the Divine Help shall always be with you

/ by The Mother


Que la beauté soit votre idéal constant
La beauté de l'âme
La beauté des sentiments
La beauté des pensées
La beauté de l'action
La beauté dans le travail
Pour que rien ne sorte de vos mains qui ne soit l'expression d'une beauté pure et harmonieuse.

Et l'aide divine sera toujours avec vous.

/ Texte de La Mère



En illustration : Le Prince Jardinier (rosier buisson) en compagnie d'Eric Tabarly (rosier grimpant)... en direct du jardin de Mudita !
 

samedi 1 octobre 2022

Respecter les casseroles

Dans un ashram, il y a un maître spirituel, vis-à-vis duquel vous tentez de devenir adultes, et puis il y a les autres et il y a aussi tout ce que nous appelons « l’environnement ». Par rapport à cet environnement (végétaux, animaux, objets, outils, matériaux), votre attitude aussi peut changer radicalement. Il s’agit de découvrir que chaque élément de la création existe en lui-même et pas seulement pour vous. Il n’y a pas un grain de poussière qui ne témoigne pas du brahman, qui ne proclame pas le « Je suis » unique et éternel. 
 
Aucune expression ou manifestation de la réalité n'est en dehors de la Réalité. Dans les anciens textes religieux de la tradition chrétienne, on trouve un certain nombre de témoignages à cet égard : le saint ou le moine voit toute la création comme l'oeuvre de Dieu.
 
Dans Les Carnets du Pèlerin Russe, le pèlerin nous dit qu'il entend le langage de la création, d'autres témoigneront que toute la création chante la gloire de Dieu. Souvenez-vous aussi de Saint François d'Assise qui loue le soleil, la lune, les étoiles.
 
Ce qui se cache derrière cette manière de s'exprimer propre aux mystiques, c'est une découverte, une réalisation bien réelle et précise dont vous trouvez des témoignages aussi éloquents dans d'autres traditions. Aucun théologien catholique ne peut trouver à redire à cette formulation. « Toute cette création est l'œuvre de Dieu. » Toute cette création, y compris les objets « inanimés », est l'expression de cette grande réalité que les hindous ont appelée brahman ou, d'un point de vue personnel, atman.
Vous avez tous lu et entendu que les atomes, les particules, ne sont pas figés, inertes, immobiles. Avez-vous même idée de la puissance qui est contenue dans chaque élément de la matière, puisque théoriquement - sinon pratiquement - on pourrait construire une bombe atomique à partir de n'importe quel fragment de la création ? La puissance colossale et parfois terrifiante - quand on pense à certaines de ses applications - de l'atome réside dans chaque atome.
 
Mais c'est à vous de faire le premier pas pour essayer de voir le monde autour de vous avec un regard nouveau. Apprenez à voir le monde en lui-même, par lui-même, comme l’expression ou la manifestation de cette réalité unique et éternelle que vous cherchez à réaliser en vous et hors de vous. Permettez-moi une boutade : si vous n’êtes pas capables de respecter un être humain, vous ne serez pas plus capables de respecter une casserole de cuisine - et vice versa.
 
Je me souviens d’avoir vu au Japon, dans un de ces immenses couloirs des monastères zen qui n’ont qu’un rez-de-chaussée à cause des tremblements de terre, une femme de ménage avec un seau à la main, un balai, un fichu autour de ses cheveux, poser seau et balai pour s’incliner devant un moine zen dont le vêtement, le kesha, montrait qu’il n’était plus un moine débutant. Et j’ai vu le salut du moine zen à cette femme de ménage ! La manière dont il a répondu à son salut en s’inclinant lentement devant elle et en demeurant quelques secondes immobile. Quelle leçon, quel enseignement ! C’est peut-être dans les monastères zen qu’on perçoit plus encore qu’ailleurs ce respect si oublié aujourd'hui. Cela, c’est le chemin de la vérité. Respect pour les êtres humains, aussi humbles soient-ils, et respect pour les objets.
 
Certes, il y aura bien encore un jour ou vous jetterez un peu brutalement un objet qui ne fonctionne pas comme vous le voudriez. Le mental est très habile pour nous proposer toujours le « tout ou rien ». Ou c’est tout tout de suite ou alors j'abandonne. N’imaginez pas qu’à partir de maintenant vous n’aurez plus jamais un moment d’inattention ou un geste d’impatience vis-à-vis d’un objet. Allez de l’avant, exercez-vous, progressez et, au moins, mettez-vous en chemin. Faites ce que vous pouvez. Ce qui vous est impossible aujourd'hui vous sera possible dans deux ans.
 
Il paraît que le simple fait de voir Ramana Maharshi ouvrir une enveloppe ou un paquet était en soi-même un enseignement. Au moins à l'ashram où les conditions sont favorables, exercez votre vigilance et apprenez à respecter, à considérer tous les objets et à reconnaître l'objet en lui-même. Je n'ai jamais vu cette poignée de porte que par rapport à moi :« Elle marche, tant mieux, ça me permet d'ouvrir et de fermer la porte. Le jour où elle sera coincée, je râlerai sûrement. » Je n'ai jamais imaginé que cette poignée de porte était une expression du brahman. Et si cette poignée de porte est une expression du brahman, c'est également le cas de cet interrupteur. En outre, tous ces objets vous permettent de poursuivre votre sadhana. S'il n'y avait pas de poignée de porte, comment feriez-vous pour entrer et sortir de cette salle ? S'il n'y avait pas d'interrupteur, comment ferions-nous pour ne pas mener nos réunions dans la pénombre ? Ou alors, respectez la lampe à pétrole ou la bougie.
 
Cet amour pour les objets, c'est aussi une école, un enseignement, une voie
 
Je raconterai une fois encore la leçon que Swâmiji m'a donnée un jour et que par chance j’ai entendue. Nous étions assis auprès de lui sur une sorte de couverture grossière pliée en huit. Cette couverture était rangée dans un coin de la chambre de Swâmiji, nous l'approchions nous-mêmes de Swâmiji pour avoir notre entretien et nous la remettions à sa place initiale une fois l”entretien terminé. Un jour, à la fin de l'entretien, j'ai pris cette couverture et je l'ai plutôt lancée que posée pour la remettre à sa place. Swâmiji m’a arrêté : « Qu’est-ce que vous venez de faire ? » Il a poursuivi : « Comment traitez-vous cette couverture sur laquelle vous venez d’être assis pendant une heure, qui a rendu votre position un peu plus confortable et vous a mis à même d’entendre un peu mieux Swamiji ? Cette couverture a donc joué un rôle sur le chemin vers votre propre liberté. » Cette couverture était, en effet, associée à l’entreprise la plus sacrée qui soit. « Et comment est-ce que cette couverture est venue entre vos mains ? Est-ce que vous tenez compte de la peine des agriculteurs qui ont cultivé le coton ? Est-ce que vous tenez compte du labeur de ceux qui ont filé ce coton, qui l’ont teint, qui l’ont tissé, du travail de ceux qui ont ensuite transporté cette couverture d’un lieu à un autre ? » Je voyais se déployer sous mes yeux la contribution de chacune des castes de l’Inde pour aboutir à la confection de cette couverture : la caste des agriculteurs, puis celle des commerçants, les négociants qui l’ont mise sur le marché. Toutes ces fonctions s’harmonisaient, au lieu de rivaliser dans un système de concurrence pour gagner plus d’argent que le voisin. Je comprenais ce qu’était le dharma: le dharma d’un shudra, qui peine au soleil pour cultiver le coton ; le dharma d’un vaïshya, d’un homme qui possède le sens des affaires, finance certaines entreprises et permet de déplacer les biens d’un lieu a un autre pour les mettre à la disposition de l’acheteur. Toutes ces activités revêtaient soudain une noblesse extraordinaire puisqu’elles avaient toutes contribué à me permettre de progresser ne serait-ce que d’un pas auprès de Swamiji. Je n’avais pas senti la gratitude que je devais à tous ces gens car si j’avais été assis sur ce ciment lisse caractéristique de l'Inde, j'aurais été très inconfortable donc moins disponible pour écouter Swâmiji. Et moi, pauvre imbécile, qui aurais été capable de penser que tous ces agriculteurs passent à côté du secret ésotérique de l'existence et que ces commerçants qui ont été intermédiaires entre le producteur et l'ashram, qui ont acheté et vendu la couverture, sont simplement des bourgeois qui s'enrichissent dans les affaires. Qu'est-ce que j'ai fait de cette couverture ? Cette couverture, je l'ai reprise, bien sûr. Et je me suis trouvé là, en face de Swâmiji, avec cette couverture entre les mains, ressentant l'aube d'un sentiment : je suis assis depuis des mois sur cette couverture et je l'ai toujours traitée sans la moindre considération. Cela aussi, c'était vraiment l'enseignement de Swâmiji.
 
Cette couverture a instauré une complicité entre Swâmiji et moi. A la fin de chaque entretien, au moment où je la prenais pour la ranger, nos regards se croisaient et nous savions très bien tous les deux à quoi nous pensions en même temps : à cette leçon que Swâmiji m'avait donnée ce jour-là. Je posais alors soigneusement la couverture, le plus consciemment possible, en essayant d'être habité par un sentiment de gratitude.
 
Ne croyez pas qu'il y ait une progression quelconque hors de ce dont j'ai parlé aujourd'hui : le non-égoïsme ou le non infantilisme vis-à-vis d’un maître, le non-égoïsme vis-à-vis des autres, tous, pas seulement ceux avec qui vous sympathisez, et ce respect vis-à-vis des objets. Je sais par expérience que la vie est moins paisible dans le monde moderne que dans un ashram. Parfois on est pressé ou impatient et on repose brusquement un marteau ou un sécateur. Mais de là à traiter du matin au soir les objets avec lesquels vous êtes en relation n'importe comment, il y a une marge. Même si vous ne pouvez pas toujours mettre en pratique cet enseignement, au moins, que votre conviction, elle, ne soit pas floue ou mensongère. Il n'y a pas de progression si vous ne percevez pas le caractère sacré de chaque objet, le respect que vous lui devez, la considération qui doit monter spontanément de vous comme un sentiment. Et traiter les objets comme cela se fait mécaniquement dans notre société sans aucune vigilance, c'est tourner le dos au chemin. « L'autre », c'est aussi bien ce micro que cette poignée de porte sur laquelle ma main se pose, que cette tasse de thé. C'est cela aussi le prochain. Vous ne verrez jamais un moine trappiste traiter n'importe comment son matériel, cela fait partie de la vigilance et de la garde du cœur. Mais quel chrétien aujourd'hui dirait : « Mon prochain, c'est cette casserole de cuisine, c'est cette tasse de thé, c'est ce micro, cette poignée de porte ›› ?
 
Au risque d'être accusé de paganisme et de panthéisme, je partage de tout mon coeur avec vous le message que j'ai reçu en Asie, à savoir que toute la création est sacrée. Toute la création témoigne du brahman, toute la création mérite notre amour. En cessant d'être égocentriques, vous pourrez être un avec l'univers. Et si vous voulez dépasser l'altérité, dépasser la dualité, il faut d'abord vivre consciemment la dualité, la vivre dignement, la vivre en êtres humains conscients et non pas en machines. 
 
La dualité est tout le temps là présente
 
Si pour l'instant je sens qu'il y a moi et tel objet, très bien. Eh bien, je vivrai consciemment cette dualité. Et en vivant consciemment cette dualité, peu à peu vous découvrirez la non-dualité. Vous verrez les contours de votre ego s'effacer et vous verrez chaque objet vous parler un langage que vous n'aviez jamais entendu. Chaque objet deviendra un support de méditation. Pourquoi cette expérience serait-elle réservée aux moines zen ou aux grands saints ? J'ai toujours été frappé d'entendre les commentaires faits à propos du premier film que j'ai tourné autrefois sur le bouddhisme zen : « Oh ! Cette beauté des gestes ! » Qu'est-ce que vous attendez pour faire passer cette beauté des gestes dans votre existence ? « Ce qui m'a le plus frappé dans le film, c'est le moment où les moines boivent le thé. » Qu'attendez-vous pour boire le thé comme eux ?
 
Extraits à partir de l’ouvrage L’ami SpirituelArnaud Desjardins et Véronique Loiseleur - Edition De La Table Ronde (1999).

jeudi 8 septembre 2022

Quand la beauté soigne

Chez les indiens Navajos, les deux concepts de beauté et de bonne santé sont synonymes. 
 
Etre en bonne santé, c'est être en état d'hozho. Ce terme, tous les spécialistes occidentaux s'accordent à le dire, est délicat à traduire. Notre mot « santé » n'y suffit pas. Si hozho signifie « équilibre », il veut dire aussi « harmonie », « ordre », « bien », « beauté ». Les Navajos emploient rarement ce mot seul. Ils disent shil hozho, « avec moi, il y a de la beauté », ou shii hozho , « en moi, il y a de la beauté » ou encore shaa hozho, « de moi, la beauté irradie », énoncés que l'on trouve dans leurs prières rituelles. 
 
Cette beauté n'est jamais un concept isolé, existant en dehors d'eux. Elle n'engage pas, comme chez nous, seulement la perception et les sens, voire l’intellect, mais globalement, une façon d'être, de se conduire. Qui circule en voiture à travers les terres Navajo, par exemple, aura la surprise de découvrir en bordure des routes, des panneaux de signalisation sur lesquels il est écrit en guise de prévention routière Drive in Beauty, « Conduisez en Beauté » !  
 
Cette « santé beauté » qui est en nous, qui émane de nous, apparaît singulièrement dépendante de celui qui la dénomme ainsi, qui la pense ainsi à partir de lui. Et, en effet, tomber malade, c'est rompre, par sa conduite, avec cet état ; c'est y faillir par sa manière de vivre et de penser. La maladie, chez les Navajos, n'est donc pas le résultat d'un dérèglement hormonal par exemple, mais moral, pas d'un virus mais d'une dispute, pas d'un microbe mais d'un excès. Le responsable de la maladie, c'est d'abord le malade lui-même qui a rompu avec cette « santé beauté » de par son attitude. La guérison va consister à rétablir le lien, à réintroduire chez le patient une « beauté », que ce peuple présente comme venant des Etres sacrés, des Ancêtres. 
 
Le medecine-man chargé de rétablir cette beauté procède par des rites de bénédiction, de purification et de délivrance, puis par la convocation des dieux et une mise en oeuvre des pouvoirs propres à chaque cérémonie, en fonction des différents « symptômes » de la maladie. C’est au cours de ces deux dernières étapes qu'interviennent les peintures de sable, les iikààh, dont certaines peuvent atteindre quatre mètres de largeur. 
 
De la perfection de ces peintures va dépendre la venue tant espérée de l'aide divine. 
 
La peinture « chargée » peut alors devenir opérationnelle. On place le patient au centre et le medecine-man transfère les « pouvoirs » des figures peintes au sol sur le corps vivant du patient. Le transfert achevé, le malade atteint l'état hozho. Il lui est recommandé de rester seul pendant quelques jours, d'absorber certains aliments, de ne pas aller dormir avant le coucher du soleil… Même les esprits les plus caustiques reconnaissent l'efficacité de cette médecine et lui concèdent d'impressionnants résultats. Le medecine-man Navajo n'est pas un « chaman », il ne possède pas un « don », mais plutôt une puissance de travail et de mémorisation hors du commun (toute cette science se transmet oralement, et il n'y a aucun écrit), un sens rare de la discipline, de l'ordre, de la hiérarchie. De plus, la compassion l'anime et il voue à son peuple une extrême dévotion. Enfin, à propos de toute cette « science par la beauté » nous aurions tort d'évoquer ce que nous appelons « l'effet placebo » pour comprendre de quoi il retourne. Le malade n'est pas inconscient, ou « aveugle » comme ces patients occidentaux à qui l'on remet sans rien leur dire des médicaments muets pour susciter chez eux des effets thérapeutiques. Ici, la guérison dépend de la précision et de l'exactitude avec lesquelles une cérémonie a été conduite, de la qualité de la peinture de sable, et surtout de la volonté du patient à retrouver sa place dans l'ordre Navajo. Tout est donc affaire de conscience. Ajoutons que cette médecine « culturelle » peut éventuellement convenir également aux occidentaux, sous réserve, bien sûr, d'adhérer aux valeurs qui la sous-tendent. « Tout est dans la tête » déclare Sam Begay, medecine-man à Indian Wells, Arizona, membre du Conseil consultatif des hataaliis, terme qui désigne la communauté des hommes-médecine en Navajo et qui renvoie tant à leurs qualités de praticien, que de prêtre, d'historien et de philosophe. 
 
Un texte de Catherine Mazarguil, animatrice de l'Atelier du Laurier Rouge, à partir des ouvrages cités en référence.
 
Pour aller plus loin, voici les références de deux très beaux ouvrages sur ce thème : - PEINTURES DE SABLE DES INDIENS NAVAJO, La Voie de la Beauté, ouvrage collectif, aux Editions Actes Sud - HOZHO, PEINTURES DE GUERISON DES INDIENS NAVAJO, sous la direction de Sylvie Crossman et Jean-Pierre Barou, aux Editions Indigène Art. Le lien vers un merveilleux blog, avec de nombreux articles : http://agoras.typepad.fr/regard_eloigne/

mercredi 10 août 2022

Les mandalas symboliques de Catherine Mazarguil

http://www.alittlemarket.com/boutique/mudita_artdeco-1450925.html

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Petits descriptifs des oeuvres, de haut en bas :

- Mandala Ciel de Terre / 40 cm x 40 cm / Au centre, le ciel comme une planète qui pulse, puis la matière minérale et le feu (rouge et or), puis la nature et l'émotion (les lotus et les coeurs), puis l'Univers et le ciel étoilé...

- Mandala Gaïa, la Déesse Mère / 50 cm x 50 cm / Dans la Tradition, Gaïa s'autoféconde pour donner naissance tout d'abord au ciel, à la mer, puis aux rochers et aux montagnes. Elle crée ensuite toutes sortes de créatures. Ici, sont représentés les trois états : le minéral/terre/rochers/matière, l'eau/la mer, le végétal, puis le cycle animal, il y a aussi un chaman... D'un bras Gaïa brandit une étoile qui se confond dans la vastitude de l'Univers, de l'autre elle distribue des bénédictions sous forme de fleurs à la Nature entière. Au centre du mandala, un petit miroir dans lequel se reflète notre oeil reconnaissant.

- Mandala les 5 Eléments / 40 cm x 40 cm / Un mandala représentant les cinq éléments selon la tradition Indienne du Yoga : Les Tattwas ou Tattvas. Le terme « tattva » signifie « principe, qualité ». Tout ce qui est créé, ce qui existe, l'est à partir de ces cinq éléments : PRITHIVI : la Terre, représenté par un carré jaune ; TEJAS : le Feu, qui prend la forme d'un triangle rouge la pointe en bas ; APAS : l'Eau, symbolisé par un croissant de lune ; VAYU : l'Air, représenté par un héxagone ; AKASHA : l'Ether, symbolisé par un cercle noir.

- Mandala L'Eveil du Papillon de Feu / 50cm x 50 cm - bords épais de 40 cm / Un mandala rempli des énergies du papillon qui s'éveille, déchire sa carapace de chenille, avant de prendre son envol et faire des volutes librement dans la nature. Le papillon représente symboliquement le pouvoir de la transformation personnelle, le renouvellement, la re-naissance, le passage serein à travers les différentes étapes (ou épreuves) de la vie. Associé à l'air, son élément, il symbolise également la légèreté de l'être et le détachement (prendre du recul sur les choses qui nous arrivent). Les couleurs cuivrées, utilisées pour le centre et l'extérieur du mandala, changent d'intensité en fonction de la lumière et selon votre positionnement par rapport au tableau.

- Mandala En Attendant le Printemps / 50 cm x 50 cm / Un mandala très frais, comme une bouffée d'air pur dans les parfums du réveil du printemps et des fleurs naissantes.

Créations à l'acrylique et techniques mixtes sur toiles, pour commander : http://www.catherine-mazarguil.com/index.php/mandala-pour-le-soin

Voir mon parcours artistique : www.catherine-mazarguil.com

Catherine Mazarguil anime chaque année, dans son atelier, des stages associant le mandala, le symbole et le yoga nidra : www.laurier-rouge.com